La rhinoplastie secondaire pour corriger une rhinoplastie ratée à Paris

La rhinoplastie ou chirurgie du nez est l’une des chirurgies esthétiques les plus pratiquées dans le monde, c’est aussi celle qui entraîne le plus de reprises chirurgicales. En effet, selon des études scientifiques, autour de 10% des rhinoplasties effectuées conduiraient à une nouvelle intervention ou une rhinoplastie secondaire.

Chirurgien esthétique à Paris, le Dr Koutsomanis revient sur la technique de rhinoplastie secondaire pour corriger une rhinoplastie ratée.

Rhinoplastie secondaire : dans quels cas ?

Aussi appelée rhinoplastie de révision, la rhinoplastie secondaire est une intervention permettant d’améliorer l’esthétique ou la fonctionnalité du nez après une ou plusieurs chirurgies du nez n’ayant pas laissé un résultat satisfaisant.

Ces rhinoplasties « ratées » peuvent être à l’origine d’une détérioration de la fonction respiratoire ou de l’apparition de défauts inesthétiques et inexistants avant l’opération avec par exemple :

• Un nez trop réduit à cause de résections trop importantes,
• Une asymétrie,
• Des narines trop voyantes,
• Un nez à l’aspect bec de corbin (aspect bombé inesthétique au niveau de la pointe du nez)

Plus simplement, la rhinoplastie est considérée comme ratée quand le ou la patiente observe un décalage entre le résultat demandé et le résultat obtenu.

Cela peut être causé par une mauvaise communication entre le chirurgien et son patient, d’où l’importance des consultations préopératoires pour bien comprendre les demandes. Au cabinet, à Paris, le Dr Koutsomanis utilise le logiciel Crisalix afin de réaliser des simulations 3D du futur nez. Ainsi, chirurgien et patient(e) peuvent visualiser le résultat attendu et s’assurer de bien être sur la même longueur d’ondes.

La rhinoplastie secondaire : une intervention complexe à Paris

La rhinoplastie secondaire est une opération plus complexe et limitée que la rhinoplastie primaire (première rhinoplastie) car le Dr Koutsomanis intervient sur des structures nasales qui ont déjà été modifiées par une précédente opération, elles sont donc plus fragiles.

Il est aussi plus compliqué de déterminer avec précision la qualité des structures du nez et leur quantité que si elles n’avaient pas été touchées.

La manipulation des tissus est plus délicate puisqu’ils sont plus fermes et fibreux, augmentant la complexité de l’opération.

La consistance de la peau et la quantité de tissu cicatriciel influent aussi grandement sur ce que va pouvoir faire le chirurgien ou non.

Ainsi, il est difficile de prévoir avec précision à quel point les ratés de la première intervention sont corrigeables.

Les techniques utilisées par le Dr Koutsomanis vont dépendre de chaque cas et sont donc adaptées de manière personnalisée selon les demandes et l’état des structures nasales.

Par exemple, en cas de résection trop importante lors de la première intervention, le Dr Koutsomanis pourra opter pour une greffe après prélèvement de cartilage. En cas de peau très fine, la rhinoplastie ultrasonique est une bonne solution pour sculpter avec précision les reliefs osseux sans les abîmer plus qu’ils ne l’ont déjà été.

En prenant en compte ces différents facteurs, il est important de comprendre que le chirurgien n’est pas un magicien et que les résultats ne dépendent pas que de lui. Si dans la plupart des cas, on peut obtenir de très bons résultats, il ne peut pas non plus faire de miracle, il faut donc pouvoir vous lancer dans cette nouvelle opération en ayant des attentes réalistes.

Rhinoplastie secondaire et prise en charge à Paris

La rhinoplastie de révision peut être prise en charge par la sécurité sociale si elle a pour but d’améliorer la respiration devenue difficile suite à la première opération. L’intervention a alors une visée réparatrice et peut faire l’objet d’un remboursement.

Si vous n’êtes pas satisfait(e) des résultats de votre rhinoplastie primaire, vous pouvez contacter le Dr Koutsomanis à Paris afin d’envisager une rhinoplastie de révision.